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21 septembre 2012
Des nouvelles du cousin de ce sac 5 ans après...
Je le retrouve tous les ans dans ma maison de famille où il suspendu à
un crochet dans une pièce, mais cette année, le plastique s'est
dégradé et s'est effrité... ça n'était pourtant pas du
"bio-fragmentable" mais les plastiques actuels ne sont plus aussi
solides que ce qu'ils étaient.
Seul le plastique blanc s'est effrité, c'est réparable, de préférence avec du coton cette fois !
Bioventure et compagnie
Archives sélectionnées de feu le blog http://bio.ouvaton.org/dotclear/ (2005-2015)
mardi 10 février 2015
Livres cousus main
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(29/03/2012)
L'idée n'est pas de moi bien sûr mais des éditions Moundarren qui rendent hommage à la culture chinoise jusque dans la reliure de leurs ouvrages.
Cette reliure "à la chinoise" permet de se fabriquer facilement un livre. D'abord, l'impression ( merci STP Copy à Pourrières ) en 1/2 A4 pour ces livrets
qu'il faut donc relier.
Monsieur Cerise a fabriqué une boîte réglable où l'on immobilise la liasse à relier :
Ensuite, pour percer les trous (d'après un gabarit) intervient une perceuse à colonne.
Selon l'épaisseur de la ficelle on utilise une mèche de 3 ou 4.
La boîte n'est pas indispensable mais elle permet de bien stabiliser la liasse
Étape suivante : la ficelle (ici il s'agissait d'un exemplaire festif, on a opté pour du bolduc). Prévoir une bonne longueur, indispensable : une grosse aiguille à canevas, ou mieux, à matelas. Commencer par le 1er trou en laissant une longueur de fil suffisante pour faire au moins un signet ( voir plus loin à la fin).
Faire un nœud solide.
Ne reste plus qu'à faire un frisottis pour les deux fils qui noués entre eux, serviront de marque-pages ou permettront de suspendre le livret.
Cette technique permet de relier des gros feuillets A4 comme par exemple ici (197 pages+la couverture et le rhodoïd) :
"Concevoir et construire les harpes celtiques "
Autres exemples avec de la ficelle ici
(29/03/2012)
L'idée n'est pas de moi bien sûr mais des éditions Moundarren qui rendent hommage à la culture chinoise jusque dans la reliure de leurs ouvrages.
Cette reliure "à la chinoise" permet de se fabriquer facilement un livre. D'abord, l'impression ( merci STP Copy à Pourrières ) en 1/2 A4 pour ces livrets
qu'il faut donc relier.
Monsieur Cerise a fabriqué une boîte réglable où l'on immobilise la liasse à relier :
Ensuite, pour percer les trous (d'après un gabarit) intervient une perceuse à colonne.
Selon l'épaisseur de la ficelle on utilise une mèche de 3 ou 4.
La boîte n'est pas indispensable mais elle permet de bien stabiliser la liasse
Étape suivante : la ficelle (ici il s'agissait d'un exemplaire festif, on a opté pour du bolduc). Prévoir une bonne longueur, indispensable : une grosse aiguille à canevas, ou mieux, à matelas. Commencer par le 1er trou en laissant une longueur de fil suffisante pour faire au moins un signet ( voir plus loin à la fin).
Faire un nœud solide.
Ne reste plus qu'à faire un frisottis pour les deux fils qui noués entre eux, serviront de marque-pages ou permettront de suspendre le livret.
Cette technique permet de relier des gros feuillets A4 comme par exemple ici (197 pages+la couverture et le rhodoïd) :
"Concevoir et construire les harpes celtiques "
Autres exemples avec de la ficelle ici
C'est moi qui l'ai cuisiné !
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( été 2011)
Un article dans le dernier Biocontact ( N°215, juillet-août 2011)... Fidèle lectrice depuis le n°1 et dépositaire de la revue pendant toutes les années de feu la coop bioventure, c'est avec grand plaisir que j'ai participé à ce numéro spécial "Fait main" : version pdf ici
(découpages et scans personnels, merci de votre compréhension)
( été 2011)
Un article dans le dernier Biocontact ( N°215, juillet-août 2011)... Fidèle lectrice depuis le n°1 et dépositaire de la revue pendant toutes les années de feu la coop bioventure, c'est avec grand plaisir que j'ai participé à ce numéro spécial "Fait main" : version pdf ici
(découpages et scans personnels, merci de votre compréhension)
Visite d'une maison écologique à Peyrolles
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mars 2011
Si l'on connaît l'existence des maisons en paille, à ossature bois, des panneaux solaires, de l'autonomie énergétique, des matériaux sains, des toilettes sèches, de la phyto-épuration et tout et tout, il faut reconnaître que c'est souvent une connaissance fragmentée, livresque... Alors quand on a la possibilité de visiter une maison qui réussit à combiner tout ça, cela ne refuse pas !
On est très loin de la maison d'un des trois petits cochons, la "bonne blague" à laquelle les propriétaires sont habitués : c'est une grande bâtisse, solidement implantée dans un quartier plutôt résidentiel. Pourtant, sous les enduits à la chaux, c'est bien de la paille, quelques 800 bottes de paille bio qui ont constitué les murs épais. Pas de chauffage dans la grande maison où visiblement le poêle à bois n'a pas servi beaucoup dans l'hiver. La maison produit de l'énergie (via les panneaux solaires qui servent de toiture) et ne consomme pas grand-chose, en témoignent les compteurs: elle produit 20 fois plus de courant que ce qu'elle en consomme, et c'est en grande partie ce qui finance le remboursement de son prêt. Yannick, l'un des deux propriétaires des lieux fait volontiers visiter sa maison, et il est le premier à nous encourager à lui "piquer des idées", on ne s'en privera pas !
source photo : e-quilibres (oups, les discussions étaient tellement passionnantes que l'on n'a pas pensé à faire des photos)
Pour en savoir plus :
http://habitat-et-environnement.net/
Une belle histoire de coopération et d'entraide au service d'idéaux écologiques.
mars 2011
Si l'on connaît l'existence des maisons en paille, à ossature bois, des panneaux solaires, de l'autonomie énergétique, des matériaux sains, des toilettes sèches, de la phyto-épuration et tout et tout, il faut reconnaître que c'est souvent une connaissance fragmentée, livresque... Alors quand on a la possibilité de visiter une maison qui réussit à combiner tout ça, cela ne refuse pas !
On est très loin de la maison d'un des trois petits cochons, la "bonne blague" à laquelle les propriétaires sont habitués : c'est une grande bâtisse, solidement implantée dans un quartier plutôt résidentiel. Pourtant, sous les enduits à la chaux, c'est bien de la paille, quelques 800 bottes de paille bio qui ont constitué les murs épais. Pas de chauffage dans la grande maison où visiblement le poêle à bois n'a pas servi beaucoup dans l'hiver. La maison produit de l'énergie (via les panneaux solaires qui servent de toiture) et ne consomme pas grand-chose, en témoignent les compteurs: elle produit 20 fois plus de courant que ce qu'elle en consomme, et c'est en grande partie ce qui finance le remboursement de son prêt. Yannick, l'un des deux propriétaires des lieux fait volontiers visiter sa maison, et il est le premier à nous encourager à lui "piquer des idées", on ne s'en privera pas !
source photo : e-quilibres (oups, les discussions étaient tellement passionnantes que l'on n'a pas pensé à faire des photos)
Pour en savoir plus :
http://habitat-et-environnement.net/
Une belle histoire de coopération et d'entraide au service d'idéaux écologiques.
Ruche en terre enduite (2)
EDIT octobre 2011 : expérience terminée, ça n'a rien donné,
les abeilles refusent de s'y installer, et au final, la ruche s'est
désagrégée, retour à la terre !! Bilan, ça ne convient pas du tout !!
archive de feu le blog http://bio.ouvaton.org/dotclear/
(juillet 2010)
(toujours d'après ce blog)
ça y est, la ruche est installée chez Alain. Voici le compte-rendu et les photos d'Alain qui nous dit :
J'ai installé deux baguettes dans la ruche,elles seront intégrées dans la cire et rigidifieront l'ensemble.
Les trous d'entrée sont bouchés en partie pour que des abeilles pilleuses n'envahissent la ruche,ils seront débouchés à mesure de l'agrandissement de la grappe d'abeilles.On n'aurait pas eu à faire cette manip avec un gros essaim.Plus tard je rajouterai des abeilles éleveuses que je prendrai dans une de mes ruches.
ça fait plaisir, on dirait que l'habitat ne leur déplaît pas !!
De mon côté j'ai fini la hausse (le couvercle) qui ne servira donc que lorsque la ruche sera pleine et retournée ( voir le principe ici ).
Il restera à l'enduire de cire elle aussi.
A suivre...
édit octobre 2010...
fin de l'expérience :
voir http://accenterre.blogspot.com/2010/05/la-ruche-se-peuple.html#comments
l'année prochaine, il faudra s'y prendre plus tôt et mettre un rucher plus vaillant ? à suivre...
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(juillet 2010)
(toujours d'après ce blog)
ça y est, la ruche est installée chez Alain. Voici le compte-rendu et les photos d'Alain qui nous dit :
J'ai installé deux baguettes dans la ruche,elles seront intégrées dans la cire et rigidifieront l'ensemble.
Les trous d'entrée sont bouchés en partie pour que des abeilles pilleuses n'envahissent la ruche,ils seront débouchés à mesure de l'agrandissement de la grappe d'abeilles.On n'aurait pas eu à faire cette manip avec un gros essaim.Plus tard je rajouterai des abeilles éleveuses que je prendrai dans une de mes ruches.
ça fait plaisir, on dirait que l'habitat ne leur déplaît pas !!
De mon côté j'ai fini la hausse (le couvercle) qui ne servira donc que lorsque la ruche sera pleine et retournée ( voir le principe ici ).
Il restera à l'enduire de cire elle aussi.
A suivre...
édit octobre 2010...
fin de l'expérience :
voir http://accenterre.blogspot.com/2010/05/la-ruche-se-peuple.html#comments
l'année prochaine, il faudra s'y prendre plus tôt et mettre un rucher plus vaillant ? à suivre...
Le principe de la ruche Hélianthe de Maurice Chaudière
archive de feu le blog http://bio.ouvaton.org/dotclear/
(2 juillet 2010)
( d'après ce blog dont je m'occupe aussi )
Maurice Chaudière est un grand monsieur qui s'intéresse aux abeilles depuis son plus jeune âge, son approche de l'apiculture fait le bonheur des amoureux des abeilles depuis des décennies. Il a mis au point plusieurs modèles de ruches, dont la fameuse Hélianthe.
Il est l'auteur entre autres de "Apiculture Alternative" aux éditions Le Décaèdre.
Plus de détails sur la page de Maurice Chaudière ici
Il n'y a plus qu'à laisser travailler les abeilles ! à suivre...
(2 juillet 2010)
( d'après ce blog dont je m'occupe aussi )
Maurice Chaudière est un grand monsieur qui s'intéresse aux abeilles depuis son plus jeune âge, son approche de l'apiculture fait le bonheur des amoureux des abeilles depuis des décennies. Il a mis au point plusieurs modèles de ruches, dont la fameuse Hélianthe.
Il est l'auteur entre autres de "Apiculture Alternative" aux éditions Le Décaèdre.
- Notre essai d'"Hélianthe" en terre crue enduite de cire fait bien pâle figure à côté des merveilleuses ruches réalisées par Maurice Chaudière ( voir ici ou là ) mais le principe est le même.
Plus de détails sur la page de Maurice Chaudière ici
Il n'y a plus qu'à laisser travailler les abeilles ! à suivre...
rûche en terre enduite 1
EDIT octobre 2011 :
expérience terminée, ça n'a rien donné, les abeilles refusent de s'y
installer, et au final, la ruche s'est désagrégée, retour à la terre !!
Bilan, ça ne convient pas du tout !!
archive de feu le blog http://bio.ouvaton.org/dotclear/
juillet 2010
Sur un autre blog, j'ai commencé à raconter la petite saga d'un groupe issu d'une association dont j'avais déjà parlé ici mais qui hélas s'est disloquée. Je ne sais pas si le blog, censé être collectif durera longtemps, c'est assez mal parti car nous nous retrouvons à 2 sur un forum créé pour l'occasion et ça n'est pas très motivant non plus pour le blog... Aussi je reporte ici les expériences de ruche en terre réalisée par bibi.
En fait il s'agit d'une adaptation de la fameuse ruche "Hélianthe" de Maurice Chaudière (voir ici ) J'ai profité de mon cours hebdomadaire de poterie pour me lancer dans l'aventure :
dans une jardinerie j'ai trouvé une vasque en plastique qui a donc fait office de moule :
( bon, avec le recul, j'aurais dû prendre plus petit, mais j'y suis arrivée !)
j'ai disposé de l'essuie-tout à l'intérieur ( sinon directement ça colle et ne se démoule pas...) :
j'ai fait une plaque de 1 cm d'épaisseur pour le fond. (toute la structure sera en terre chamottée )
Ensuite le reste est fait au colombin, avec lissage à chaque étage... ça monte petit à petit ...
J'ai mis 2 h 30 environ pour arriver à cela; c'est une réalisation mastoc, imposante : heureusement qu'on ne la cuira pas car c'est le genre de pièce qui vous monopolise un four à elle seule...
La semaine suivante, le démoulage était périlleux à cause du poids et de la fragilité de la pièce pas encore bien sèche...
-démoulage, perçage du trou sur le dessus :
La semaine suivante, bien sèche, j'ai pu la récupérer afin de l'enduire à l'intérieur et à l'extérieur de cire fondue : ça s'est très bien passé : j'ai fait fondre les pains de cire un à un (j'en ai utilisé 3 petits) dans une petite casserole, à feu doux, et avec une vieille brosse à dents ( je n'avais pas envie de sacrifier un pinceau neuf ! ) j'ai donc enduit intérieur et extérieur. ça a parfumé agréablement toute la maison !
La ruche a ensuite été transportée sur son lieu de destination, chez Alain l'apiculteur amateur, qui a délicatement agrandi les trous car la rétractation et la cire les avaient considérablement réduits.
L'aventure continue, à suivre....
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juillet 2010
Sur un autre blog, j'ai commencé à raconter la petite saga d'un groupe issu d'une association dont j'avais déjà parlé ici mais qui hélas s'est disloquée. Je ne sais pas si le blog, censé être collectif durera longtemps, c'est assez mal parti car nous nous retrouvons à 2 sur un forum créé pour l'occasion et ça n'est pas très motivant non plus pour le blog... Aussi je reporte ici les expériences de ruche en terre réalisée par bibi.
En fait il s'agit d'une adaptation de la fameuse ruche "Hélianthe" de Maurice Chaudière (voir ici ) J'ai profité de mon cours hebdomadaire de poterie pour me lancer dans l'aventure :
dans une jardinerie j'ai trouvé une vasque en plastique qui a donc fait office de moule :
( bon, avec le recul, j'aurais dû prendre plus petit, mais j'y suis arrivée !)
j'ai disposé de l'essuie-tout à l'intérieur ( sinon directement ça colle et ne se démoule pas...) :
j'ai fait une plaque de 1 cm d'épaisseur pour le fond. (toute la structure sera en terre chamottée )
Ensuite le reste est fait au colombin, avec lissage à chaque étage... ça monte petit à petit ...
J'ai mis 2 h 30 environ pour arriver à cela; c'est une réalisation mastoc, imposante : heureusement qu'on ne la cuira pas car c'est le genre de pièce qui vous monopolise un four à elle seule...
La semaine suivante, le démoulage était périlleux à cause du poids et de la fragilité de la pièce pas encore bien sèche...
-démoulage, perçage du trou sur le dessus :
Alain, mon coach abeilles, la trouvant -par photo interposée -
trop basse, je l'ai rehaussée d'environ 5 cm, toujours au colombin
La
ruche, dont l'aspect esthétique n'a pas été très exploité (!) a
ensuite séché une semaine, j'ai pu faire les ouvertures ( trous d'un bon
1cm de diamètre, tenir compte de la rétractation ), puis je me suis
attaquée au modelage de la "hausse"= le couvercle ( dont on reparlera en
son temps car pour le moment il n'a pas encore son utilité ).La semaine suivante, bien sèche, j'ai pu la récupérer afin de l'enduire à l'intérieur et à l'extérieur de cire fondue : ça s'est très bien passé : j'ai fait fondre les pains de cire un à un (j'en ai utilisé 3 petits) dans une petite casserole, à feu doux, et avec une vieille brosse à dents ( je n'avais pas envie de sacrifier un pinceau neuf ! ) j'ai donc enduit intérieur et extérieur. ça a parfumé agréablement toute la maison !
La ruche a ensuite été transportée sur son lieu de destination, chez Alain l'apiculteur amateur, qui a délicatement agrandi les trous car la rétractation et la cire les avaient considérablement réduits.
L'aventure continue, à suivre....
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