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mardi 10 février 2015

une marmite norvégienne

archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
(20/08/2009)

Les choses les plus simples ne sont pas forcément celles qu'on adopte en premier...
Bien que sachant que cela existe et fonctionne très bien, il m'a fallu du temps pour passer à l'acte : un joli coffre en bois brut a été le déclencheur...

Le principe de ce type de "cuisson" :  porter un plat à ébullition dans une cocotte en fonte ou en inox épais, dotée d'un bon couvercle, et cuire à peine quelques minutes à feu doux ( je ne visse pas la cocotte minute qui de toutes façons n'en est plus une) , puis placer la cocotte avec son couvercle, dans le coffre, en faisant en sorte qu'elle y soit elle aussi bien emmitouflée :
remplir les espaces vides avec des tissus comme des pans de vieille couverture par exemple.
                                               

Mettre un coussin sur le tout et bien refermer le coffre . Ouvrir quand le temps présumé de cuisson avec combustible est dépassé d'environ 30% (c'est variable selon les plats).
C'est plutôt le genre de futur repas qu'on peut mettre démarrer le matin et qu'on aura juste à réchauffer le midi ou le soir (céréales...).
Pas de risque que ça brûle pendant votre absence !!!!
Sans coffre, on peut s'en fabriquer une avec par exemple un carton placé dans un autre encore plus grand, en comblant l'espace entre les deux avec une vieille couverture ou autre matériau isolant. Bien refermer le tout.  ça peut aussi servir pour la préparation des yaourts sans yaourtière (édit : par ex. au soja). Après, il s'agira de trouver une place de choix ou d'en libérer  une pour ce nouvel élément de la cuisine !

liens (entre autres) : ici ou

édit : voir aussi "marmite norvégienne, mon amie"
http://www.marmite-norvegienne.com/


rangement anti-souris

archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
26/09/2012

La fin des vacances... Il faut ranger la maison sachant que quand on s'en va, les souris en profitent...
Impossible de laisser le linge dans une armoire ou encore moins en place. Jusqu'à présent, on utilisait des grands sacs chinois en plastique et à la fermeture éclair vite foireuse, mais les souris réussissent parfois à s'y installer après avoir rongé le sac, transformé en nid douillet -pour elles :-(
Les coffres en fer sont chers et là-bas ça rouillerait vite. Ceux de la photo sont de récup, en bois à l'intérieur. Ils résistent bien (dedans il y encore des sacs).
Avant...

Après...

Photo prise juste avant de partir; on met toujours le matelas dans sa housse plastique d'origine, sinon c'est la nurserie !
A 6 euros la poubelle, quand on n'est pas regardant sur la déco, ça permet un rangement bien moins cher que des coffres en plastique où il ne va pas grand chose et ça protège des intrus, des fuites d'eau éventuelles du toit aussi...
Une poubelle neuve et propre ça va de soi, peut aussi servir de Marmite Norvégienne occasionnelle

stratégie anti-limaces

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juillet 2007

(archive du blog bioventure.over-blog.com )

et petit intermède au feuilleton du "bio" ;-)

Pour éviter que ce type de limaces du Sud-Ouest ( récolte du jour... je ne les tue pas mais vais les relâcher beaucoup plus loin )

 
ne viennent décimer les basilics "bio" que j'ai ramenés de Provence, je me suis souvenue d'un conseil lu vraisemblablement dans une revue de jardinage ( à priori " les quatre saisons du jardinage") consistant à protéger les plantes avec un très mince grillage, j'ai donc essayé d'entourer les pots avec une moustiquaire en aluminium, dont les fils du haut sont effilochés, ce qui crée un effet fils barbelés censé repousser les limaces qui s'aventureraient à l'assaut de la plante...
 

J'en ai eu pour 3 € environ, c'est sûr que j'aurais pu découper de plus fins morceaux.  On va voir ce que ça peut donner... Pour l'instant, ça fonctionne !

kitcheries récup

archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
septembre 2008

Une partie de mes activités des vacances...
Toujours au crochet (n°6 en général) et selon le principe des lanières "à la Didon" ( voir ici, ou là), de nouvelles kitcheries à base de ... ??? devinez quoi  !!!
vase : un bocal habillé, avec un fil électrique pour resserrer le haut qui avait tendance à être trop large :
                                                                     
A sortir éventuellement pour les fêtes de Noël, une tentative d'habillage de bouteille de Chianti et sa bougie, le tout récup'...



Et le cabas qui ne passe pas inaperçu...

                                                   

édit : le même version "bas-débiste" (Pescalune  -  je m'en sortirai mieux la prochaine fois !)



Commencé pour être plus petit, il a fini par avoir de grandes dimensions !
Il est fait en 5 morceaux plus ou moins harmonieux ( les coutures au fil à pêche ont essayé de corriger les plus grosses différences de taille). La matière en question n'est pas difficile à crocheter, mais comme le découpage des lanières n'est pas très régulier et que la crocheteuse ne tient pas compte du nombre de mailles qu'il faudrait scrupuleusement compter, et procède à la grosso-modo, d'autant qu'il a parfois des noeuds aussi quand le fil casse, le résultat n'est forcément pas harmonieux...
C'est aussi ce qui peut faire le charme de l'objet ;-)

détail de la matière :



Alors, qui a trouvé ???


Edit du 05/09/2008 : bravo à Linaigrette !!
Il s'agit en effet de l'enveloppe intérieure d'un bag-in-box dit aussi "cubi" de vin ! On en trouve de plus en plus facilement en circuit bio, dont certains avec un rapport qualité prix remarquable. Mais ça n'est pas le sujet !

une fois vidé de son contenu, je découpe le cubi de façon à obtenir 2 feuilles qu'évidemment je lave et fais sécher.


Ensuite, c'est le découpage en lanières. Pour donner une idée, en découpant des lanières d'environ 5 mm de large dans une feuille de 30 cm/31cm, j'obtiens environ 17 mètres de fil. D'où la nécessité, soit d'en consommer plus que de raison, soit d'en récupérer.


les photos sont déplorables mais j'espère que c'est clair, si ce n'est éblouissant comme ces pots de yaourts photophores :



une ferme hélicicole en Dordogne







En vacances en Dordogne, l'été un peu gris (au goût d'une provençale) n'est
 pas pour déplaire aux escargots !
Quelques images d'un jeune élevage d'escargots à Rouffignac (Dordogne).
Terre d'escargots :
http://www.terre-d-escargots.fr



(photos persos)
Quelques réflexions...
- Il est loin le temps où dès qu'il pleuvait, il suffisait de parcourir la campagne pour revenir avec un plein panier d'escargots -"petits gris" pour ceux dont je me souviens... On les faisait alors jeûner plusieurs jours et on les cuisait d'abord dans une première eau où ils étaient ébouillantés, puis une fois extraits de leur coquille, ils étaient à nouveau cuits et apprêtés... Sans compter la satisfaction aussi de les empêcher de dévorer les plantes du jardin !
Ici, les escargots consomment l'herbe (trèfle,colza,lupin) des parcs,  non grillagés mais ceints d'une clôture électrique à faible intensité qui fonctionne à l'énergie solaire. Des chats assurent la garde contre leurs ennemis ( rats...), il y a aussi le risque des pillages sporadiques de la part de la gent ailée, mais les propriétaires ont choisi de ne pas grillager sur le dessus, les pertes n'étant sans doute pas significatives?
La visite nous a appris que tous les escargots ne s'élèvent pas, ceux de Bourgogne par exemple, et que ceux de cet élevage venaient à l'origine d'Afrique du Nord pour les gros gris. Une fois les "bébés" introduits dans les parcs, la "récolte" se fait déjà au bout d'un an, et commence alors en automne la période de production des conserves ou plats surgelés. Le tout en vente directe à la ferme ou sur les marchés.
Les parcs sont vidés de leurs habitants en âge d'être passés à la casserole, et  des cochons d'inde, introduits dans les lieux, se chargent du nettoyage et du désherbage!
En cuisine, la ferme concocte plusieurs spécialités gastronomiques, avec une proposition intéressante pour ceux qui aiment cuisiner les escargots à leur goût, un bocal d'escargots juste court-bouillonnés, vendus avec un sachet de coquilles à part : il n'y a plus qu'à les accommoder, par exemple avec une farce de beurre, ail, mie de pain et persil, et à se régaler.
On n'est biensûr pas obligé d'apprécier ces mets, ça en fait plus pour les amateurs !
- La question du "bio" s'est évidemment posée aux maîtres des lieux, on l'a vu, très sensibles à la question, d'autant que le terrain  se prêtait à la culture en bio.
Le "jeu" de la mention légale en vaut-il cependant la chandelle ? Il semblerait que la prudence pousse à dire non, car le produit  lui-même est déjà assez cher ( il est vrai qu'on n'en mange pas tous les jours), mais surtout à priori pas spécialement prisé de la clientèle bio en général...enfin ça c'est mon à-priori d'ex-épicière bio; on en revient un peu à la discussion à propos des restaurants qui afficheraient du tout bio, se privant ainsi d'une certaine clientèle et  contentant parfois difficilement celle pour laquelle ils avaient choisi le bio proclamé...
Dans ce genre de secteur très spécialisé, dès qu'on s'éloigne de la vente directe, le produit en prend déjà un surcoût, alors avec la majoration liée aux contrôles et aux ingrédients bio, à quel prix finirait-il dans les rayons des superettes bio qui voudraient bien  proposer des escargots ??
Ils en étaient là de leurs cogitations, d'autant qu'ils viennent de démarrer leur activité.
En tous cas, au pays du foie gras et dérivés, voilà une activité qui, de dérangeante par certains aspects - pauvres petites bêtes ébouillantées etc.etc- s'avère intéressante à plusieurs points de vues : respect de l'environnement ( bien que dans ce domaine on puisse toujours vous reprocher quelque chose !) produit local, vente directe, contact, créations culinaires...
voir : http://www.terre-d-escargots.fr
-En savoir plus sur l'héliciculture


édit :  voici une recette de fin connaisseur découverte dans un truculent récit :
"... Ou bien encore, et là on atteint les très hautes cimes de la gastronomie de chambre à four :
 faites griller sous la cendre une douzaine d'escargots, dans leur coquille et, sans en enlever le tortillon surtout*, mangez-les brûlants avec de la purée d'orties judicieusement salée et poivrée. C'est la Gazette qui m'avait donné cette recette en me disant : "Cré longarous ! L'ortie, c'est plein de fer !Ça te fait les nerfs comme des rains¹ de cornouiller!" Quant à l'escargot, tout le monde sait qu'il donne la vie éternelle, ou presque. N'est-il pas tous les hivers, enfermé dans son sépulcre ( sa coquille), recouvert d'une dalle (le couvercle) et ne ressuscite-t-il pas tous les ans, vers Pâques ? Mystère prodigieux qui vous entre dans les veines et dans le sang quand vous le mangez.
La Gazette attribuait son immortalité à cette nourriture dont il faisait son ordinaire et ne manquait pas de souligner cette ressemblance de l'escargot avec le Christ, dont il est le symbole, ce qui nous vaut de le retrouver sculpté dans les églises... Les églises bourguignones tout au moins.
Parfois, revenant de la genière avec des oeufs frais, la Nanette me faisait, pour ma collation de quatre heures, une omelette aux orties, ou bien une omelette aux escargots et je me suis amusé, toujours dans le chaud secret de la chambre à four, à combiner ensemble ces deux omelettes : deux oeufs, des orties,six escargots : qu'on me croie sur parole, ça dépasse en parfum l'omelette aux truffes, sans surpasser toutefois l'omelette aux petits-gris, ces champignons de sapin que notre bon instituteur appelait Tricholoma terreum."
¹ : Rain : branche (dialectal)

Extraits de "la billebaude" d'Henri Vincenot. (Denoël.1978).

 archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
septembre 2008

éradication du varron

archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
mars 2007

(archive du blog bioventure.over-blog.com )
Et si l'on (re)parlait de la fin programmée de cette pôv'petite bête ?
C'est l'article de Missand  sur cette s... d'Ivermectine et  un autre de Pierre Paillard  dans le Biocontact de février 2007, qui me font m'en retourner du côté des archives... J'en profite donc pour revenir sur l'affaire "Eradication du varron" et forcément sur  feu la Coordination Nationale contre l'Eradication du Varron, que j'ai modestement aidée en lui assurant à l'époque un hébergement sur le site bioventure qui du coup en abrite  les archives depuis sa dissolution en 2004. Un petit retour en arrière ne fait pas de mal, allez-y voir il y a de quoi lire !!  Ah, pour ceux qui ignoreraient qui est cette petite bête et ce qui a "mérité" sa disparition au grand tribunal du ministère de l'agriculture : on  reproche en fait à "ce parasite" ( hypoderma bovis ) de pouvoir faire des trous dans le cuir des bovins... à part ça...
Pierre Paillard a fait un très bon résumé de l'affaire ici :
" L'éradication du varron dans l'élevage bovin a été décidée en France aux termes de l'arrêté ministériel du 4 novembre 1994 puis réalisée, département par département, après que chaque préfet aie signé un arrêté préfectoral, préparé par sa Direction des Services Vétérinaires.
Cette approche scientifique peut être légitimée, ou non, par le législateur. Ainsi, la loi du 10 juillet 1976 comme les articles L 200-1 et L 200-2 du Code Rural imposent la nécessité du maintien de la biodiversité et contredisent formellement le principe d'éradication pourtant affirmé dans l'arrêté ministériel du 4 novembre 1994. On aurait pu penser que cette contradiction flagrante serait relevée et dénoncée par les organisations soucieuses d'écologie comme d'agrobiologie, mais il n'en fut rien. Nul ne sait pourquoi.
Les campagnes d'éradication se mirent donc en place. Elles furent confiées aux Groupements de Défense Sanitaires, sous-traitants des services préfectoraux.
L'agent retenu pour la mise à mort du varron fut l'ivermectine, molécule de synthèse interdite pour les vaches laitières, car dangereuse, mais qu'importe aux éradicateurs ! Comme les agrobiologistes auraient pu s'inquiéter, on eut toutefois recours à la 'micro-dose', sans s'aviser qu'elle ne bénéficiait pas de l'AMM ou autorisation de mise en marché ! Ce n'est ici qu'une des curiosités de ce dossier.
Et nous avons sans doute bu (vous et moi) du lait bio à l'ivermectine ! Certes nous n'en sommes pas morts, mais notons en passant que la qualité biologique est une construction intellectuelle 'contrôlée' par la puissance publique, non pas 'constatée' par des mesures scientifiques. Sa validité repose en finale sur notre seule vigilance. 

La mobilisation se met en place
C'est alors qu'un petit paysan de Haute-Loire s'insurgea. Jean Coulardeau refusa de se soumettre et créa la Coordination Nationale contre l'éradication du varron, pour une agriculture responsable. D?autres refuseurs, dans toute la France, l'imitèrent. Ces gens-là se virent assignés en justice, c'était tout ce qu'ils demandaient : que les juges disent le droit puisque l'État ne le respectait pas.
Saluons l'aspect civique, non-violent, de cette contestation."
( extrait de l'article de P.Paillard )
Silence... on éradique !  Malheur aux éleveurs qui ont osé refuser l'éradication ( voir les multiples procès, dont certains ont été gagnés ). Allez savoir pourquoi, les  "bio" et les défenseurs officiels de la biodiversité  n'ont pas été très actifs dans la lutte et le soutien c'est le moins qu'on puisse dire... Dura lex sed lex, les éleveurs "bio"ont donc très majoritairement traité eux aussi, tout en étant au courant des conséquences de l'ivermectine sur le lait entre autres... 
Déjà que pas grand monde ne se préoccupait d'en faire écho à l'époque, le temps a fait son oeuvre.... Il faut savoir que l'éradication du varron se pratique toujours, mais qu'il n'y a traitement que si l'examen sérologique démontre la présence de varron, ce qui est quand même mieux que l'éradication systématique... 
Etrange qu'aujourd'hui encore cette évocation suscite si peu de réactions... à cette époque pas si lointaine, le web était déjà répandu dans les chaumières, mais sans doute pas assez... Les instances du "bio" et les associations militantes qui auraient pu donner un coup de pouce semblent avoir également manqué à l'appel ou alors être intervenues trop tard, ensuite le mal était fait.  Une brève recherche vite fait sur le web et on tombe toujours plus ou moins sur les mêmes à en parler,  merci au passage à l'ami grainvert qui dès le début a soutenu la coordination ! Le scientifique Joël Sternheimer a démontré il y a déjà longtemps que le varron inhibait le prion ( mais comme il n'est pas "reconnu" non plus chez nous... ) Il a en tous cas témoigné en ce sens devant deux juridictions pénales.
Saluons aussi la mémoire de  Mark Purdey un fermier anglais qui dès 1982 s'insurgea contre le traitement alors en vigueur en G-B, de tous de tous les bovins avec le "Phosmet", un pesticide organophosphoré !!  En fait, il est surtout connu -mais pas reconnu, chez nous du moins- pour avoir, en 1996, suite à de longues recherches,formulé une théorie selon laquelle ces organophosphorés utilisés pour l'éradication du varron étaient responsables de l'apparition de... l'ESB !!!! , tiens tiens... voir son site où l'on peut d'ailleurs lui rendre un dernier hommage.
Au fait, entre autres éradiquables, qu'en est-il de l'éradication de la cicadelle, insecte présumé responsable de la propagation de la flavescence dorée, maladie de la vigne ? Chez les vignerons bio obligés de traiter comme les autres, il semblerait qu'il y ait des pistes du côté de la "lutte biologique" mais cela reste encore un autre sujet "délicat"... à la vôtre !
Bibliographie : - "Cent mille mensonges et un espoir".Pierre Paillard. éd. du Fraysse. d'autres titres ici
(archive du blog bioventure.over-blog.com )

cabines téléphoniques nouvelle génération

archive de feu le blog  http://bio.ouvaton.org/dotclear/
avril 2008

ça y est la cabine téléphonique du 3ème type est arrivée :


Plus de carte téléphonique à puce, ni de possibilité de téléphoner avec sa carte bleue… Il "suffit" (encore faut-il être prévenu!)  d’une carte à code  rechargeable ou  de la carte  France Telecom  , qui a le mérite d’avoir un code simple et un n° d’accès simple (3610) , à condition que l'on dispose  d'une ligne téléphonique chez eux…  On peut toujours  appeler en PCV (3006) et bien sûr les services d'urgence.
Alors que j’avais crû ce qu’on m’avait affirmé  récemment à la poste, à savoir que les cartes téléphoniques à puce étaient supprimées,  j’ai eu la surprise d'en  trouver  sans problème dans une maison de la presse d’un village un peu touristique où il y a encore plusieurs cabines téléphoniques... En fait, c’est juste la poste qui n’en vend plus, préférant proposer des cartes rechargeables à la place, les maisons de la presse peuvent toujours s’en procurer aisément.
Ce à quoi je ne m’attendais pas, munie de ma carte téléphonique à puce toute neuve, un peu plus loin, en campagne, sur une route où cela pourrait dépanner les non-possesseurs de portables, c’est de tomber sur une cabine  classique mais qui s’avère ne fonctionner qu’avec un code !!

France Télécom a  l'obligation, dans le cadre du service universel, de maintenir au moins une cabine  dans chaque commune, deux dans celles de plus de 10.000 habitants... Il semblerait que ces cabines à code soient amenées à remplacer petit à petit les anciennes, trop souvent vandalisées, ce qui était le cas dans cette petite commune où j'avais mes habitudes téléphoniques.